Le Code Matkaliné

Introduction

Bienvenue cher visiteur. Si tu es sur ma page, c’est que l’on a un ami en commun et que tu veux en savoir plus sur le code qu’il utilise.

J’ai ici pour mission de t’enseigner le Code Matkaliné. Fabuleux langage philosophique qui permet de coder chaque chose en cette vie. Une personne, une oeuvre, une situation… les musiciens ont leur solfège, les chimistes leur tableau périodique, nous, on a le code Matkaliné.

Si tu es joueur du jeu du phénix, saches qu’il est basé sur ce code et qu’il n’est qu’une interface ludique et graphique.

Comme tous les langages, il faut en apprendre la grammaire. Voici donc les quelques règles à connaitre :

1ère règle : le Sujet

Tout comme sont nom l’indique, le Sujet est ce à quoi va se rapporter le codage. Cela peut être un homme, une femme, un chien, un tableau, un film, un livre, une scène. Il n’y a pas de limite dans le choix du Sujet.

2ème règle : les 9 dimensions

Les dimensions sont les verbes. Au nombre de 9, elles sont symbolisées par les 9 premières lettres de l’alphabet :

Pour en savoir plus sur les dimensions, tu peux consulter cet article.

3ème règle : les 50 entités de Sens

Les entités de Sens sont le contenu. Des mots qui définiront le Sujet sur chaque dimension. Elles sont numérotés de -25 à 25 sauf pour le cinquantième Sens qui est codé M.

Code simplifié V3

Les entités de Sens sont plus complètes que le résumé qui en est fait ici. Pour avoir une idée de ce qu’elles représentent réellement, va voir les nuages de mots.

Pour en savoir plus sur les Politiques, tu peux consulter cet article ou cliquer sur le nom de la Politique en question :

Frustration ; Obsession ; Pouvoir ; Tourment ; Plénitude ; Vitalité ; Philosophie ; Puissance

Pour en savoir plus sur les couleurs, tu peux consulter cet article.

4ème règle : les Sens négatifs

Pour utiliser les Sens -25 à -1 dans le code, il faut obligatoirement en utiliser un deuxième, situé entre 1 et 25 ainsi que M, qui s’écrira entre parenthèse. Ce dernier sera interprété comme une peur ou un rejet qui entraîne de facto l’utilisation d’un sens flou (-). Comme un sous-entendu qui justifie sa présence. En voici la synthèse :

sous-entendus

Point d’étape : Coder/Décoder

Te voici suffisamment armé maintenant pour coder et décoder les messages de notre ami commun. Voici quelques exemples de phrases codées avec un sujet :

  • H8 : Le Sujet incarne le retranchement
  • A8 : Le Sujet ose le retranchement
  • E21 : Le Sujet est dans une dynamique de soin
  • B21 : Le Sujet se nourrit par le fait de donner du plaisirs
  • D21 : Le Sujet désire apporter de la douceur
  • C-21(23) : Le Sujet partage son addiction par peur d’un manque d’idées
  • G-21(M) : Le Sujet a pour objectif l’addiction par peur de l’inconnue
  • I1. F4 : Le Sujet est dans une pensée rigoureuse ce qui provoque la perdition sociale

Quelques compléments d’informations à retenir néanmoins:

  • Les sens impairs doivent être portés dans l’action vers l’autre ou vers l’extérieur. Ils dénotent d’un processus.
  • Les sens pairs doivent être dans la réaction. Ils dénotent d’un état.
  • On ne peut avoir 2 sens opposés dans une même « phrase » (Exemple : 25 et -25).

Pour en savoir plus sur les chiffres pairs/impairs, tu peux consulter cet article

Xavier – #LND